dimanche 1 février 2015

Kyo conquis le Zenith.

Ce 27 janvier, le groupe Kyo jouait au Zenith de Paris. Leur retour après tant d'années d'absence nous avait déjà ravis, impossible de ne pas profiter de cette occasion. Kyo, ça a bercer mon enfance, forcément j'y allais pour m'amuser, et je n'ai pas été déçu au contraire. 



Commençons par le commencement, je découvrais le Zenith, étonnamment je n'y avait jamais mit les pieds. L'entrée n'a pas été facilité par le plan vigipirate, et les appareils photos sont interdit, ne soyez pas étonnés de l'absence de photos et vidéo correcte. Pour le reste, pas de problème d'organisation, et l'infrastructure est correcte.
La première partie du concert était surement la partie la plus décevante. C'était assez étrange, déjà parce que le son était relativement mauvais, à aucun moment je n'ai compris ce que la chanteuse disait, et c'est vraiment gênant. On en était à chercher la langue dans laquelle elle chantait... Et le pire n'était pas là, le pire c'était les jeux de lumière insupportables qui nous empêchaient de regarder la scène, de peur de finir aveugle. 



Au bout d'une demi-heure, une solide migraine et des flash dans les yeux, leur partie se finit il ne reste plus qu'à attendre Kyo. Une entrée qui se fait sans trop attendre, première bonne surprise. Et les bonnes surprises n'ont fait que enchaîner. La setlist comprenait de tout les albums, Bien sur la salle enflamme sur les titres les plus connus, je pense à Le chemin, Je cours, Contact, Le Graal, L'équilibre, Dernière Danse etc. mais dans l'ensemble c'était très bien menée, le public était captivé tout le long.




 Et pourtant c'était un public variée avec des jeunes, des moins jeunes, des familles des groupes d'amis , des couples etc. Un public complètement conquis qui a ovationné le groupe à plusieurs reprise, tout au long du concert. De tous les concerts auxquels j'ai assisté, c'était la première fois que je voyais cela. En fait, c'était tout simplement la première fois que je m'amusais autant à un concert. Le groupe est visiblement fait pour ce genre de salle pourtant plus compliqué à séduire selon moi, on sent un échange avec le public, bien présent sans trop en faire. Un côté presque intimiste, alors que ce n'était pas gagné. La scène est totalement apprivoisé, le chanteur qui descends saluer le public plusieurs fois, laisse la place au guitariste pour quelques chansons (ce que j'apprécie toujours). Un dynamisme dingue qui justifie ma seule remarque, c'était trop court !  

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